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Vol.12, no.1, jeudi, 24 janvier, 2013
 
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Dossier thématique : L'eau spacer spacerspacerspacer

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Le Saint-Laurent et nos rivières, sources d'activités éducatives
Par Céline Schaldembrand, de Stratégies Saint-Laurent

La murale sur la biodiversité

En juin 2012, Stratégies Saint-Laurent réalisait une murale collaborative sur la biodiversité du Saint-Laurent, grâce au soutien financier du Fond Nature Madeleine-Auclair, administré par la Fondation de la faune du Québec et dans le cadre de la première Symphonie Grands-Lacs – Saint-Laurent. La murale représente la plupart des écosystèmes du Saint-Laurent en illustrant des espèces fauniques et floristiques caractéristiques et des espèces menacées, tant de la partie marine que fluviale du Saint-Laurent. Elle constitue une approche de sensibilisation des citoyens, parmi lesquels les jeunes ont pu (re)découvrir les espèces emblématiques du fleuve qui figurent sur la fresque et poser un geste concret en y ajoutant leurs coups de pinceau.

La murale a été réalisée sous la direction des Muralistes des Peupliers, de l’organisme SoArt, spécialisé, notamment, dans la réalisation de murales participatives. La murale est exposée à la Baie de Beauport de façon permanente, lieu où elle a été réalisée, afin que tous puissent en profiter encore longtemps.

Les trésors de la rivière Saint-Charles

L’automne dernier, le Comité ZIP du Haut-Saint-Laurent (HSL), aidé par de nombreux bénévoles, procédait au nettoyage aquatique et terrestre d’un dépotoir clandestin, sur la rivière Saint-Charles et ses berges, à Salaberry-de-Valleyfield. Lors de cette journée de nettoyage, le Comité ZIP, et les bénévoles, ont ramassé 6.07 tonnes de déchets sur les berges et du fond de l’eau. À l’issue de cette activité, le Comité ZIP a exposé plusieurs des objets ramassés afin de faire connaître ce qui se trouve au fond de l’eau, et par la même occasion, de sensibiliser la population à l’importance de conserver un environnement sain.

Vers une pêche blanche zéro déchets !

Le Comité ZIP Saguenay est un partenaire de premier plan, dans le volet environnemental,  de la pêche blanche sur les glaces de la rivière Saguenay (où cette activité représente 90% des maisonnettes hivernales). La brigade verte formée de quatre  intervenants visite les trois villages de pêche blanche de La Baie pour donner de l’information pertinente sur le programme des 3R-V (réduction, réemploi, recyclage  et valorisation) et pour distribuer du matériel de sensibilisation en regard de la disposition des déchets. Récupérer et recycler ses déchets, covoiturer, respecter les quotas et garder un environnement propre sont autant de  gestes qui sont à la portée de tous  et qui ont une influence directe  sur la protection de l’écosystème.

 

 

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Les organismes de bassins versants impliqués auprès des jeunes !
Par Catherine Ferland-Blanchet, du Regroupement des organismes de bassins versants du Québec

Parmi les 40 organismes de bassins versants (OBV) du Québec, plusieurs deviennent porteurs d’initiatives novatrices de sensibilisation et d’éducation des jeunes!

Tantôt, ces initiatives relèvent de partenaires et d’activités existantes...

Une dizaine d’OBV sensibilisent les élèves de leur territoire grâce aux programmes éducatifs du Groupe d’éducation et d’écosurveillance de l’eau (G3E). Ils combinent les interventions en classe et les sorties extérieures que leurs permettent les activités de J’adopte un cours d’eau, Survol Benthos et Attention à l’habitat du poisson, par exemple.

Le Projet WET (Water Education for Teachers) est une autre des alternatives éducatives privilégiées par les OBV. Ce projet s’adresse aux étudiants du primaire et du secondaire. Le projet WET prend la forme d’un livre d’activités sur des problématiques locales ou mondiales reliées à l’eau, pouvant être réalisées en petits comme en grands groupes, avec ou sans matériel de laboratoire. Les activités sont innovatrices, prêtes à être utilisées, faciles d’usage et amusantes!

...tantôt, ces initiatives d’ÉRE sont issues des initiatives de l’OBV même !

Crédit photo : OBV Nord-est du Bas-Saint-Laurent
Crédit photo : OBV Côte-du-Sud

D’autres OBV optent plutôt pour le développement d’activités à l’interne, répondant aux besoins spécifiques de leur clientèle scolaire. En voici quelques exemples :

En 2012, l’OBV de la Côte-du-Sud a mis sur pied un « Programme d’activités de sensibilisation des jeunes - Eau et biodiversité ». Les activités étaient variées : élevage d’ombles de fontaine, découverte du benthos et confection de nichoirs et de dortoirs à chauve-souris.

L’OBV Baie-Missisquoi a pour sa part développé le programme éducatif « Les mousquetaires de l’eau claire ». Les élèves du primaire doivent franchir quatre grades d’apprentissage; le bassin versant avec Porthos, l’écosystème aquatique avec Aramis, les utilisations de l’eau avec Athos et la qualité de l’eau avec d’Artagnan!

L’OBV Nord-est du Bas-Saint-Laurent sensibilise des élèves du primaire grâce à Écol’EAU : La sensibilisation par la découverte!  La faune, les milieux humides et la qualité de l’eau sont au programme des activités théoriques en classe et du volet terrain.

Enfin, l’OBV Gaspésie-Sud a développé, en partenariat avec le Conseil régional de l’environnement (CRE) Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine le livre virtuel Attention à nos rivières, disponible en ligne.

Les OBV, de bons porteurs d’initiatives en éducation relative à l’environnement sur les enjeux de l’eau !

 

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Explos-Nature, dédié à la mise en valeur du milieu marin du Saint-Laurent
Par Marjorie Maury, d’Explos-Nature

Explos-Nature est un organisme à but non lucratif fondé en 1955, grâce à M. Léo Brassard.  Sa mission est de développer et d’offrir des activités éducatives axées sur l’estuaire maritime du Saint-Laurent, son écologie, la richesse des espèces fauniques et floristiques et ses aspects océanographiques. L’eau est une partie intégrante de chacune nos activités et excursions sur le terrain et est le point de départ de tous nos programmes visant toujours à éduquer et ainsi inciter chacun à poser des actions concrètes afin de protéger ce milieu exceptionnel.

L’École de la Mer est une expérience exceptionnelle destinée aux groupes scolaires du primaire au secondaire. Véritable programme d’initiation au milieu marin offert en formule tout inclus pour des séjours variant de 2 à 7 jours, guidés par des naturalistes compétents, les participants réalisent des expériences en laboratoire et sur le terrain et effectuent des excursions en mer permettant de découvrir concrètement les eaux du Saint-Laurent marin, la faune qui l’habite et la flore qui s’y trouve. Cela, en faisant appel à tous leurs sens : voir, sentir, écouter, toucher, et même goûter!

La Mer fugue et le Labo d’un jour sont des programmes proposés lorsque la saison ne se prête pas aux excursions extérieurs en bord de mer. En version mobile ou en laboratoire, des naturalistes initient les élèves aux richesses biologiques et aux particularités océanographiques de l’estuaire maritime.

Les Camps de vacances familiaux des Explos permettent à de nombreuses familles de vivre des vacances stimulantes dans le cadre enchanteur de l’estuaire maritime du Saint-Laurent. D’une durée  variable selon les envies de chacun, les familles choisissent une foule d’activités disponibles au sein même de la maison de la mer et des activités offertes dans la région comme une croisière aux mammifères marins ou une randonnée pédestre le long du fjord du Saguenay. De plus, notre volet spécialisé, Camp familial TED des Explos, se veut un séjour unique pour les familles ayant des enfants autistes ou atteins d’un trouble envahissant du développement. Des bourses sont disponibles pour les familles qui en font la demande selon les critères d’admissibilité du Ministère de l’éducation, du Loisir et du Sport.

Le guide de découverte de l’estuaire maritime du Saint-Laurent est le tout premier guide d’identification de la corporation qui a rassemblé les connaissances et les acquis des naturalistes qui ont œuvré au fil des années dans la corporation. Abordant la géologie et l’océanographie du Fleuve, ce guide aborde plus de 110 espèces passant des algues jusqu’au mammifères marins. C’est un outil convivial et facile à utiliser pour tous les amants de la nature.

Osez explorer la vraie nature ! Visitez notre site au www.explos-nature.qc.ca

 

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Eau Secours! , la force citoyenne au service de l'eau

Par Édith Lacroix, de la Coalition Eau Secours!

Crédit photo : Fleuve Saint-Laurent au parc des rapides de Ville Lasalle, par Martine Chatelain

La Coalition Eau Secours! est engagée, depuis plusieurs mois, dans la lutte contre la fluoration forcée de l’eau potable municipale (consultez la brochure Pour une eau sans fluor). Comme la décision de fluorer ou non l’eau potable revient à chaque municipalité, on assiste à l’éclosion de multiples débats. Par exemple, à Mont-Joli, la Ville a décrété un moratoire sur la fluoration jusqu'au 3 novembre 2013, où la question sera soumise aux citoyens dans le cadre d’un référendum. À Richmond, la Coalition Eau Secours! appuie le Regroupement de citoyen(ne)s pour une eau saine à Richmond dans sa campagne de sensibilisation et de mobilisation contre la fluoration. En décembre dernier, on applaudissait la résolution appelée « Moratoire sur la fluoration de l'eau potable » adoptée par le conseil municipal.

Une pétition a été lancée sur le site de l’Assemblée Nationale pour demander l’interdiction de cette pratique. Ajoutez-y votre nom d’ici le 20 février 2013 !

La démocratie parle !

Eau Secours! continue de sensibiliser les élus municipaux pour ne pas qu’ils imposent de compteurs d’eau dans les résidences. Par exemple, le conseil de ville de Saint-Lambert annonçait le 11 juin 2012, que face à l’opposition citoyenne, il renonce à son projet d’installation de compteurs dans les immeubles résidentiels de six logements et plus. Le maire a déclaré : « La démocratie a parlé ! » Pour la Coalition, la taxe foncière est le moyen le plus équitable et le plus efficace pour assumer collectivement les coûts l’eau, tout en permettant de préserver sa gestion publique. Les compteurs d’eau ont toujours été, sont et resteront la porte ouverte à la privatisation (consultez la brochure Démystifier les compteurs d’eau).

Eau Secours! milite également pour le retour à la consommation de l’eau du robinet et contre les usines d’embouteillage d’eau en sol québécois. Ainsi, le comité Recours d’eau a été formé pour lutter contre l’implantation d’une usine d’embouteillage sur le territoire de la municipalité de La Minerve. En août 2012, une journée thématique « À L’EAU ! » a permis de sensibiliser plus de 1 500 citoyens. Un vrai succès !

2013 marquera le 15e anniversaire de la Coalition Eau Secours! Plusieurs activités et projets (concours de photos, spectacle-bénéfice, soirée de poésie, etc.) seront organisés afin de rejoindre encore plus de citoyens. Joignez-vous à nous, et à la cause de l’eau…

Pour en savoir plus :
www.eausecours.org

Page Facebook

 

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Les programmes de surveillance écologique de l’eau
Par Diane Gagnon, du Groupe d’éducation et d’écosurveillance de l’eau (G3E)

Un moyen efficace pour se mettre au service d’un cours d’eau !
Selon le Réseau canadien de surveillance communautaire (RCSC, 2001), la surveillance ou le suivi écologique constitue un outil efficace pour développer la capacité des collectivités et des réseaux locaux ainsi que pour favoriser l’intendance et la sensibilisation de la population. Cette capacité accrue permet une participation plus efficace de la population à la gouvernance locale, ce qui en retour donne lieu à un processus décisionnel plus inclusif. Il en résulte des choix plus efficaces en matière de conservation et de durabilité qui tiennent compte d’aspects de plus en plus complexes sur le plan social, économique et environnemental.

C’est sur ce principe qu’ont été crée divers programmes qui amène les participants à s’engager dans la protection ou la conservation de l’environnement.

L’exemple de J’adopte un cours d’eau

J’adopte un cours d’eau est un bon exemple de programme d’écosurveillance de l’eau. Il marie harmonieusement l’éducation relative à l’environnement, l’expérimentation sur le terrain, les savoirs scientifiques et l’action concrète pour la protection d’un cours d’eau.

Crédit photo : G3E

Ce programme invite les élèves à se poser des questions et à choisir un défi concernant un cours d’eau dans leur localité. Par la suite, le projet comporte deux volets principaux qui conduisent les jeunes à l’action. Le premier volet consiste à récolter, identifier et dénombrer les macro-invertébrés benthiques peuplant le cours d’eau. Ces derniers étant sensibles aux changements de nature chimique et physique de leur habitat, ils constituent d’excellents indicateurs de la qualité environnementale globale du cours d’eau. Le deuxième volet étudie l’essence même du cours d’eau : l’eau et ses caractéristiques physico-chimiques et bactériologiques. Les données obtenues sont entrées dans un rapport mis en ligne sur le site Web du programme. Les résultats permettent aux jeunes de poser un diagnostic sur l’état de santé de leur cours d’eau et sont diffusés sur une carte géoréférencée. La carte permet de répertorier les informations récoltées dans le cadre du programme et de constituer une banque de données sur la santé globale des cours d’eau. Ces données, accessibles à tous, servent de premier indicateur de problématiques environnementales qui, examinées plus en détail, mènent à la mise en œuvre de solutions. Ces solutions seront traduites par des actions directes dans la collectivité, que se soit en termes de représentation, de sensibilisation ou d’action terrain.

D’abord conçu pour les élèves du 3e cycle du primaire et du secondaire, le programme offre maintenant une toute nouvelle version destinée aux étudiants de niveau collégial. La méthodologie a cette particularité de rendre possible l’établissement de liens étroits avec le milieu scientifique. Les macro-invertébrés récoltés peuvent être conservés et éventuellement servir à une étude scientifique plus poussée via le programme Survol Benthos. Ce dernier programme est utilisé par plusieurs organismes de bassins versants (OBV) et, prochainement, par la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ). Leurs résultats sont validés par le G3E et intégrés à une base de données partagée avec le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs (MDDEFP). J’adopte un cours d’eau peut également se réaliser dans les aires naturelles protégées.

Une variété d’outils pédagogiques et scientifiques (guides pédagogiques, clé d’identification, protocoles physico-chimiques, vidéos explicatifs, rapport et carte Internet, etc.), des formations ainsi qu’un programme de certification et de reconnaissance ont été développés pour aider enseignants et élèves à progresser dans le programme.

Le G3E et la Biosphère d’Environnement Canada ont mis en œuvre ce programme en étroit partenariat en 2000. Depuis, plusieurs organismes (dont plusieurs organismes de bassins versants, des gestionnaires d’aires naturelles protégées et un organisme gouvernemental en éducation) sont devenus de précieux collaborateurs. Ils sont les coordonnateurs régionaux du programme et agissent, entre autres, en soutenant les participants dans la réalisation des projets locaux. J’adopte un cours d’eau est aujourd’hui un vaste réseau d’observateurs canadiens curieux de la qualité de leur environnement.

Un programme d’éducation relative à l’environnement

Les composantes du programme J’adopte un cours d’eau ont été bâties en suivant avec rigueur un modèle éprouvé d’éducation relative à l’environnement (Goffin, 1985). Ce programme développe chez l’élève des connaissances approfondies ainsi qu’une capacité accrue en termes de réflexion et d’action à propos d’une préoccupation environnementale locale, la santé globale de leur cours d’eau. Le programme dépasse l’étude simple de l’écosystème riverain en utilisant une approche systémique qui rejoint les cinq objectifs de l’éducation relative à l’environnement (ERE) tels que formulés par l’UNESCO (UNESCO-PNUE). Il permet à l’élève d’être sensibilisé aux enjeux environnementaux par l’exploration de son milieu naturel et de sa complexité. Il amène une réflexion sur l’environnement local et révèle l’importance de la rivière dans son milieu. Cet éveil permet d’acquérir des connaissances de base de l’écosystème et d’en comprendre les interrelations tout en utilisant une approche multidisciplinaire. Cette approche favorise ainsi le développement et l’application de différentes habiletés et compétences, tant les manipulations scientifiques que l’apprentissage du travail terrain.

Liens avec le programme de formation de l’école québécoise

 
Crédit photo : G3E

J’adopte un cours d’eau fournit aux élèves une situation d’apprentissage réelle ancrée dans leur collectivité et leur quotidien. C’est une occasion éducative unique d’expérimentation et de recherche en environnement par l’obtention de résultats concrets et significatifs.

Le programme permet à l’enseignant de toucher à plusieurs concepts reliés au contenu du programme de Science et des technologies. À travers le programme, l’enseignant peut aborder, pour ne nommer que ceux là, la notion de bassin versant, la chimie des solutions et ses propriétés physiques, les transformations chimiques, les notions touchant l’eau (propriétés, pollution, cycle...), l’étude de l’écologie et des biomes aquatiques, les notions de taxonomie, d’espèces et d’habitat tout en développant la pensée scientifique des élèves et en la mettant à profit pour résoudre une problématique locale.

J’adopte un cours d’eau favorise également l’intégration des diverses compétences disciplinaires autres qu’en Science et technologie, que l’on pense au français, mathématique, géographie, anglais ainsi que certaines composantes des domaines des arts et du développement personnel. Ce programme favorise également le développement de la rigueur scientifique, la pensée critique et analytique, le travail coopératif ainsi que l’apprentissage de la gestion de projet.

Et pour conclure…
Les programmes de surveillance de l’eau, tel J’adopte un cours d’eau, ne répondent évidemment pas à tous les enjeux liés à l’intégration des préoccupations environnementales. Cependant, le modèle tel que développé et utilisé, dépasse le niveau de la prise de conscience d’une préoccupation environnementale. Ces programmes développent chez le participant une connaissance approfondie d’un enjeu environnemental ainsi qu’une capacité accrue en termes de réflexion et d’action. Le modèle proposé permet d’étudier un enjeu environnemental sous plusieurs angles en utilisant comme point d’ancrage la science et la technologie. Il forge chez l’élève son identité, lui permet de construire une vision de son milieu de vie et développe son pouvoir d’action. L’intégration d’un enjeu environnemental permet non seulement de rejoindre plusieurs buts et valeurs de l’éducation scientifique et technologique mais touche également à plusieurs composantes du renouveau pédagogique. L’élève utilise des méthodes de travail, exploite l’information, résout un problème, développe sa pensée critique et créatrice, communique ses résultats, travaille en coopération et exploite les technologies de l’information le tout, en abordant un sujet qui le rejoint directement et qui est au cœur de son milieu de vie, l’eau, cette ressource inestimable.

Références bibliographiques

Goffin L. et Bonivier M. (1982). La perspective environnementale en pédagogie. Revue Belge de Psychologie et de Pédagogie, tome 44, no. 19, p 77 à 95.

Réseau canadien de surveillance communautaire. (Page consultée le 25 février 2008). Messages clés. Adresse URL : http://www.ccmn.ca/français/key_messages.html.

UNESCO, Programme de Nations Unies pour l'Environnement (PNUE). (1975). La Charte de Belgrade. Un cadre mondial pour l'éducation relative à l'environnement. Belgrade.

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Prochain numéro : Environnement et justice sociale

Le prochain numéro sera mis en ligne le jeudi 28 février 2013. Partagez vos expériences, vos témoignages, vos réflexions avec les lecteurs du bulletin. Faites parvenir votre article (350 à 500 mots) accompagné de quelques photos avant le 22 février 2013 par courriel : infoaqpere@aqpere.qc.ca

 

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Ce bulletin mensuel est une réalisation de l'Association québécoise pour la promotion de l'éducation relative à l'environnement.