Pourquoi jouer dehors avec les enfants ?
Après des mois passés entre quatre murs, enfants comme adultes, nous avons tous la bougeotte et nous ressentons l’envie de mettre le nez dehors. Si le grand air nous fait du bien à tous, il a des avantages non négligeables pour les tout-petits. Voici un aperçu de ce qu’en dit le programme éducatif québécois Accueillir la petite enfance.
Développer ses capacités motrices
Simplement en allant dehors l’enfant bouge davantage. Le grand espace lui permet de bouger différemment. Il peut courir sur une grande distance, sauter en s’élançant, grimper dans les modules au parc, se déplacer avec un véhicule roulant (porteur, trottinette, tricycle). Il apprend ainsi à prendre des risques dans ses choix que ce soit pour calculer la hauteur de la bordure avant de sauter ou encore s’arrêter en tricycle devant un obstacle.
À l’extérieur, l’enfant pratique son équilibre en se déplaçcant sur un terrain un peu accidenté ou dénivellé. Contrairement à l’intérieur où le sol est toujours plat, il apprend à lever la jambe pour passer par-dessus un obstacle en se déplaçant rapidement, il pratique les départs et arrêts comme dans les jeux de poursuites (dont la tag). En courrant, l’enfant peut ainsi peaufiner la coordination de ses gestes. Dans les modules au parc, il apprend à se faire confiance et à tester ses limites en grimpant, en glissant et, en sautant d’une hauteur.
Ressentir la nature
Par un contact régulier dans la nature, que ce soit au beau milieu de la forêt ou dans un parc, l’enfant apprend à la connaître, à s’y intéresser et possiblement à la respecter. En observant les insectes, les variations de la météo, son environnement, l’enfant fait sortir le petit scientifique en lui. Le fameux pourquoi !
Développer ses capacités motrices
Simplement en allant dehors l’enfant bouge davantage. Le grand espace lui permet de bouger différemment. Il peut courir sur une grande distance, sauter en s’élançant, grimper dans les modules au parc, se déplacer avec un véhicule roulant (porteur, trottinette, tricycle). Il apprend ainsi à prendre des risques dans ses choix que ce soit pour calculer la hauteur de la bordure avant de sauter ou encore s’arrêter en tricycle devant un obstacle.
À l’extérieur, l’enfant pratique son équilibre en se déplaçcant sur un terrain un peu accidenté ou dénivellé. Contrairement à l’intérieur où le sol est toujours plat, il apprend à lever la jambe pour passer par-dessus un obstacle en se déplaçant rapidement, il pratique les départs et arrêts comme dans les jeux de poursuites (dont la tag). En courrant, l’enfant peut ainsi peaufiner la coordination de ses gestes. Dans les modules au parc, il apprend à se faire confiance et à tester ses limites en grimpant, en glissant et, en sautant d’une hauteur.
Ressentir la nature
Par un contact régulier dans la nature, que ce soit au beau milieu de la forêt ou dans un parc, l’enfant apprend à la connaître, à s’y intéresser et possiblement à la respecter. En observant les insectes, les variations de la météo, son environnement, l’enfant fait sortir le petit scientifique en lui. Le fameux pourquoi !
Quand il joue dehors, tous les sens de l’enfant sont en éveil.
L’ouïe : écouter le chant des oiseaux, l’eau qui coule, les sons ambiants, etc.
La vue : regarder passer un voilier d’outardes, regarder les nuages, etc.
Le toucher : toucher les arbres, les roches, cueillir les pissenlits, etc.
L’odorat : sentir la nature après la pluie, le parfum des fleurs, etc.
Le goût : goûter un fruit, un légume du jardin, etc.
Disons finalement que la nature a un effet positif sur le bien-être de l’enfant. Une journée passée en plein air favorise grandement la détente de l’enfant, lui ouvre l’appétit et évacue son taux de stress. Autrement dit, la nature est le meilleur allié du parent qui a de la difficulté à coucher son enfant le soir venu !